La bonne connaissance des textes du parti évite des mauvaises interprétations par ses membres. C’est fort de cette remarque que le parti Avenir et Développement du Mali (ADM) a organisé un séminaire de formation à l’intention de ses membres, le jeudi 10 février 2011 à l’hôtel Laïco El Farouk.
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rnCe séminaire sur les textes du parti était initié en collaboration avec le Centre d’études stratégiques. Sa cérémonie d’ouverture était dirigée par le Président de l’ADM, Madani Tall, et a enregistré la présence du Secrétaire général du parti et Secrétaire de la jeunesse de l’ADM.
rnCe séminaire visait à mieux comprendre le parti et à maîtriser son fonctionnement, en vue de pouvoir dynamiser ses bases. En effet, le dernier-né de la scène politique malienne a jugé utile de faire connaître ses textes à ses membres avant de lancer son implantation à l’intérieur du pays. Cette démarche du benjamin des partis politiques vise à éviter toute anicroche par rapport à l’interprétation de ses textes par ses membres.
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rnA la fin du séminaire, les participants devraient en mesure d’expliquer de façon limpide la vision du parti à tous ceux qui désirent avoir des informations sur celui-ci. Ils doivent également être capables de maîtriser les concepts de fédération et de mouvement. Chaque participant doit aussi être rompu à rendre opérationnel le Bureau mis en place et en assurer l’animation.
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rnPour le Président de l’ADM, Madani Tall, ce séminaire vise avant tout à faire connaître la philosophie du parti et promouvoir le militantisme. Parce que, selon ses dires, à l’ADM, on a compris que, de nos jours, la politique se fait sans volonté ni patriotisme. C’est pour ne pas tomber dans ce travers que l’ADM se propose de faire de la politique autrement. «Nous voulons mener une politique au service du peuple», a-t-il affirmé. A en croire Madani Tall, lorsque l’on est à l’ADM, on ne doit pas se contenter de la masse populaire. «Tout militant d’Avenir et Développement du Mali doit être en mesure d’amener notre patrie à devenir un pays émergent», a-t-il conclu.
rnYoussouf Diallo
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